Publié dans La pensée qui panse, Madame Je-Sais-Tout

La pensée qui panse #17

Amis du jour, bonjour !

Avant de partager avec vous les pensées de Jacques Salomé par le truchement (j’en ferai un mot du jour, promis) de ma chère amie Fanny, je partage avec vous mes petits bonheurs du jour.

Le premier : nous avons planté avec Chéri des herbes aromatiques et ça y est, nous avons un petit tapis tout vert et tout doux dans la zone persil (non mais c’est super important !). Secondo, j’ai offert ce Noël à Chéri une (hypothétique) couverture faite de petits carrés Granny en crochet. J’ai sous-estimé le travail parce qu’à Noël, bah j’en avais pas fait la moitié. Et aujourd’hui, je viens ENFIN de terminer les 785 petits carrés que je dois maintenant assembler. Hashtag trop fière. C’était la minute OSEF.

Revenons donc à nos moutons et à Jacques Salomé, écrivain et psychologue français.

Être heureux ne dépend pas seulement de l’irruption d’un événement gratifiant ou bienveillant dans notre vie, mais surtout de notre capacité à accueillir, à protéger et à amplifier cet événement sans le parasiter par des pensées toxiques.

Le bonheur ne tombe pas du ciel tel un steak à qui lève la tête en ouvrant la bouche. Des trucs chouettes, il en arrive. Mais seuls et livrés à eux-mêmes, ces petits trucs ne sont que des zizis sauteurs qui une fois remontés parcourent notre bureau en sautillant pour finir par tomber derrière et mourir dans les moutons de poussière qui s’accumulent le long du mur taupe de l’open space.

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