Publié dans Le mot du jour

Le mot du jour

Inspiré par ce fabuleux week-end à la campagne que je viens de passer… Le parfum des arbres sous la rosée du matin, le chant du vent, des oiseaux, des grillons… doux Jésus, que nous en sommes loin ici, à Paris ! Bref, week-end en famille pendant lequel j’ai dormi dans la même piaule que ma frangine et au-dessus de celle de mon paternel. Et une joyeuse symphonie, une ! (Paraît que j’étais de la partie, mais alors j’étais le petit triangle dans l’orchestre, celui qu’on entend pas trop…).

Le mot du jour : ronchopathie.

Mais keskecé ? Alors, voyons, ça sonne comme une maladie de gens qui ronchonnent tout le temps (ce que je fais très bien d’après Roméo). Alors, la ronchopathie serait la maladie des râleurs ? Et y’a-t’y un traitement contre ça ?
Non, pas du tout, la maladie en question n’a rien à voir avec notre humeur maussade (mais elle y contribue quand celle de notre chéri nous rend insomniaque). La ronchopathie se traduit par les vibrations du voile du palais (la partie molle en haut, au fond de la bouche) et de la luette (ce petit machin qui pend au fond de la gorge), à cause du manque de tonus des muscles de la gorge. Pour y remédier, l’une des solutions serait de pratiquer une ablation d’une partie du voile du palais…
Vous aurez certainement compris que je parlais de ronflements (dont ronchopathie est un synonyme). Cela dit, avouez que c’est plus classe de dire « oui, je souffre de ronchopathie » que de dire « Gérard m’empêche de dormir avec ses ronflements »…

2 commentaires sur « Le mot du jour »

    1. Exactement… disons pour être plus juste que je suis la seule à ne pas avoir souffert de la ronchopathie de mon compagnon de matelas… en revanche, merci le lit qui grince…

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