Amis du jour, bonjour !
Bon, mini pause dans les mots du jour, je pense que j’ai besoin de trouver LE mot qui vous fera frémir comme moi, de ressentir à nouveau cette flamme et cette fébrilité qui s’emparent de moi à l’idée de faire la maligne sur les pages de mon blog… Certains d’entre vous pourtant essaient de me souffler des idées…
En attendant, je tiens à partager avec vous un truc qui m’a mise en joie. Je pense avoir rebattu les oreilles de Chéri, mais aussi de mes parents, de mes collègues, et j’en passe. Alors je partage avec vous.
L’autre jour, je me pomponnais avant de descendre prendre le petit dej’ que Chéri prépare méticuleusement tous les matins. Enfin, se pomponner chez moi, ça se limite à tartiner mes joues de crème (mais que quand ça me brûle, hein, on attend le dernier moment), appliquer du mascara pour ne pas ressembler à un figurant de The Walking Dead, et essayer de faire quelque chose de mes cheveux qui, quand ils sont propres, rédigent et signent leur déclaration d’indépendance genre « un chouchou, tu t’moques ma gueule ? »
Disons que j’essayais de me rendre présentable. En appliquant ma crème, je faisais comme toutes les femmes, de jolies grimaces à mon reflet, quand j’ai aperçu, au coin de chacun de mes yeux, trois petites crevasses (des crevassounettes, hein, c’est pas non plus le Grand Canyon). Des pâtes d’oie, comme on appelle ça. Pour moi, ce sont les rides du sourire. J’ai 30 ans. Ce sont mes premières rides. Et ce sont celles que marque mon sourire sur mon visage. Les premières. Et je me dis que j’ai de la chance, que la première chose qui ait marqué visiblement mon corps — au-delà de mon laisser aller et des 20 kg que j’ai pris dernièrement mais que j’essaie de reperdre — ce soit mon bonheur.
Et là, je me dis que tout ne va pas si mal 🙂
