Ami du jour, bonjour !
Dernièrement, j’ai traversé une période pas jolie jolie. Des choses qui n’allaient pas. Ou bien moi, tout simplement, qui ne voyait que ça. Toujours est-il que je me suis extirpée tant bien que mal de cette merde, sous les yeux inquiets de mon adoré, en écoutant des choses et des personnes qui font du bien à la tête. Qui parlent d’amour de soi, de confiance et j’en passe. Bref. Parmi ces personnes se trouve l’acteur et comédien Zachary Levi, que tu as peut-être vu dernièrement dans le film Shazam !
Lors d’un échange entre Zachary avec Jay Shetty (dont je te recommande les vidéos si tu es anglophone) sur la santé mentale, mon oreille a été accrochée par une citation. En voici la retranscription :
On n’arrête pas de jouer parce qu’on vieillit. On vieillit parce qu’on arrête de jouer.
(We don’t stop playing because we get old. We get old because we stop playing.)
Ce sont des mots empruntés à Oliver Wendell Holmes, écrivain, médecin, essayiste et poète américain du XIXe. Je les aime beaucoup. Jay Shetty appuie sur le fait que, quoi que l’on entende par « jouer », il est important de garder des yeux d’enfant, et non de se conduire comme un enfant. Voir le monde simplement, être soi, et non ce qu’on attend de nous. Se faire confiance. Parce que jouer, c’est aussi ça. Être là où on est, pas demain, pas aujourd’hui, mais maintenant. Comme un enfant.

