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Iron Man 2

Bon, là, c’est même plus du retard, c’est honteux ! Ceci dit, comme je l’ai déjà expliqué, c’est indépendant de ma volonté (oui, j’aime faire plein de choses à la fois et ne même plus savoir ce que je dois faire !). Bref, revenons à nos moutons… ou plutôt à notre playboy en armure,  j’ai nommé : Iron Man. On est reparti pour un tour !

On retrouve dans ce volet le richissime Tony Stark, fort du succès qu’il a acquis en révélant au monde sa double identité. Caché derrière sa carapace de métal, il se croit invincible et capable de prévenir n’importe quel conflit. Jusqu’à ce que ce qui le maintient en vie, l’adamentium, commence à le tuer. Et pour en rajouter une couche, le gouvernement, qui ne l’entend pas de cette oreille, compte bien faire d’Iron Man une propriété de l’État.
Et puis, il y a les jaloux, ceux qui envient le succès de l’homme d’acier, et il y a ceux qui nourrissent contre la famille Stark des envies de vengeance…

On retrouve notre super héros en proie au doute. D’abord, qui est le héros ? Son armure ? N’est-il pas une part du concept ? En d’autres termes, l’armure sans lui a-t-elle la même valeur morale et physique ? Alors on est en droit de se demander ce qui fait un super héros. Tony Stark commence par sombrer, et le héros qui le détruit avec lui. Sa vie décline, et malgré tous ses biens, il est seul.

Robert Downey Jr. est magnifique (mais je ne suis pas objective). L’histoire est bien construite malgré quelques longueurs sur le milieu du film, et quelques épisodes qu’on a dû manquer en chemin… La musique est excellente (eh oui, un best of de AC/DC sur les cascades d’un surhomme, on en redemande). Bref, il faut aimer les films à la sauce de super-héros, ce qui est mon cas, vous l’aurez compris.

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Le Chasseur de primes

Oh mon Dieu ! Voilà deux semaines que je suis allée voir ce film. Je dois avouer que j’ai du mal à me faire à mon nouveau rythme de vie. Non pas que je sois surchargée… mais j’ai du mal à m’organiser ! Bref, tout ça pour dire qu’il y a environ deux semaines, je suis allée admirer mon Gerard chéri (bonjour le nom, c’est pas très glam !) sur grand écran. Miam !

Nicole est journaliste, elle ne vit que pour son Job. Un jour, elle fait une découverte pas nette impliquant un ami policier. C’est la raison pour laquelle elle ne se rend pas à l’audience à laquelle elle est convoquée pour « agression » sur un policier. C’est à son ex-mari, Milo, chasseur de prime, que l’on fait appel pour la ramener et l’obliger à comparaître… La guerre est déclarée, et tous les moyens sont bons !

Un film sympa. Perso, j’adore Gerard Butler (Rrrrr !), et je trouve qu’il forme un superbe couple avec Jennifer Aniston. Passé ce détail, le scénario est un livre ouvert et manque de subtilité. On passe un bon moment, les acteurs sont drôles et certaines scène vous arrachent quelques rires… Mais voilà, c’est tout.

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Kick Ass

Mon dieu, quel retard ! Voilà maintenant plus de deux semaines que je suis allée voir ce film…. mais vous savez ce que c’est : les exams, les débuts de stage, les dossiers pour les profs, les dossiers pour le Master 2, etc… Bref, on n’en voit pas le bout, et on prend du retard dans ses rapports d’activité. Mais nous y voilà (et aujourd’hui, c’est chargé !)

Donc, Kick Ass. L’histoire d’un ado banal, plutôt geek et invisible, en un mot ringard, qui décide de devenir un super-héros. Mais n’est pas super-héros qui veut. Et si les mystérieux molosses bodybuildés des comics de Dave possèdent, sinon des supers pouvoirs, au moins des supers gadgets, notre jeune casse-cou est loin du compte ! La première fois est douloureuse… et les suivantes ne le sont pas moins. Mais lorsqu’on est un super-héros, il faut en assumer les conséquences, ce qui se complique lorsque de vrais méchants sont impliqués.

C’est ce qu’on appelle un film-spectacle. Du divertissement pur. Contrairement à ce que je pensais, on est loin du film pour enfants nous servant sur un plateau tiède l’histoire d’un ado mal dans sa peau qui finit par prouver au monde (et accessoirement à la cour de son lycée) qu’il vaut quelque chose. Non, c’est un minable qui ne va pas décoller sous prétexte qu’il a un costume vert et un masque, bien au contraire. Il va devoir assumer ses responsabilités, même si après de multiples fractures, il a moins envie de jouer les courageux sauveurs. Au passage, il va tout de même choper la bombe du lycée. Comme quoi, il ne s’en sort pas si mal.

On adore la gamine, Hit Girl, plus dangereuse et agile qu’un scorpion et un aspic réunis, le tout saupoudré d’un certain style. La gamine tuant les bandits de sang froid aux côtés de son père pour venger la mort de sa mère, on est d’accord, c’est dénué de toute morale. Mais passées les premières gênes, on craque pour ce couple de héros improbable au nom saugrenu (Big Dady). Et Dave finit tout de même, envers et contre tout principe moral, par aider cette gamine orpheline. Bravo aux acteurs, bravo pour le scénario. Attention au jeune public, perso, je dis pas en dessous de 10 ans…

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Adèle Blanc-Sec

Hier soir, après une semaine de travail acharné, ma sœur a décidé que c’en était assez et m’a traînée au cinéma (« tu verras, le jeune homme est très gentil », m’a-t-elle assuré, les yeux pétillants…et c’était vrai…). Bref, c’est donc en retard (pour ne pas changé) que nous avons sauté dans la voiture pour aller voir le petit dernier de Luc Besson : Adèle Blanc-Sec.

Adèle est une jeune femme écrivain, journaliste, bref, elle exerce un métier de plume. Dans le film, elle est prête à tout pour sauver la vie de sa soeur, inconsciente depuis un accident de tennis. Adèle parcourt le monde à la recherche du secret des momies, leur redonne la vie, dompte les ptérodactyles. Bref, elle n’a peur de rien.

Un bon divertissement. On retrouve l’esprit loufoque des BD de Tardi, même si le film a tendance à partir dans tous les sens. Honnêtement, je me demandais comment Besson allait rendre l’ambiance de Tardi, qui dialogue beaucoup avec son lecteur, et je dois dire que ça manque un peu dans le film (malgré la voix off). On sait dès le départ que ces aventures n’auront ni queue ni tête, mais le manque de rationalité a tendance à nous perdre de temps en temps. Cela dit, on apprécie le caractère bien trempé d’Adèle, son franc parlé, et  son humour un brin pète-sec. Mention spéciale à la momie (je veux une momie aussi !), dont l’allure et la voix m’ont charmée ! Le petit truc qui a tilté : Louise Bourgoin parle très très vite ! A voir, peut-être ; à revoir, moins sûr…

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Remember Me

Bon, je vous avais dit que cette semaine serait riche en sorties cinéma ! A dire vrai, je passe mon temps entre mon écran de PC et les toiles des salles obscures…hier soir, séance de 22h10, Jill (que je ne présente plus) et moi sommes allées voir Remember Me. Oui, j’entends d’ici les commentaires sarcastiques (en fait, je les ai déjà entendus) comme quoi la seule raison pour laquelle je vais voir ce film est notre cher Bob (Robert Pattinson, ndlr). Et là, je dis STOP ! Même si je dois dire que le club des hormones en furie était au rendez-vous hier soir, pour ce qui est de Jill et moi, Bob ne fut qu’un vecteur pour découvrir quelque chose de beaucoup plus profond…

Tyler est un gars paumé, fils de riche dont le frère s’est suicidé à l’âge de 22 ans (l’âge de Tyler dans le film). Il ne fait pas d’études, vit d’un petit boulot dans une librairie et partage son appartement avec un ami pas très fin. Mais surtout il voue un amour sans limites à sa petite soeur de 11 ans, Caroline, petit génie du dessin vivant sur une autre planète. Un soir, il s’interpose dans une bagarre et finit en prison. Pour se venger du flic qui l’a bouclé, il va essayer de séduire sa fille, Aly…

On reste soufflé. Les histoires d’ado rebelle, on connait. Tyler recherche désespérément l’attention de son père, qui semble vouloir ignorer l’existence de sa fille depuis le suicide de son fils. Sa mère s’est remariée. Et lui ne veut prendre aucune décision pour construire sa vie. Aly a vu sa mère mourir sous ses yeux, abattue par des petites frappes alors qu’elles allaient prendre le métro. Son père refuse de la laisser vivre. Ces deux-là se sont bien trouvés. Et, sans rien dire ou presque, ils savent qu’ils peuvent vivre quelque chose. Mais l’histoire est secondaire. Le message premier est qu’il faut vivre. Que « quoi qu’on fasse, ça ne sert à rien, mais il faut le faire, parce que personne d’autre ne le fera » (Ghandi, extrait du film). Ils doivent tous réapprendre à vivre, à s’ouvrir, à s’aimer, à s’accepter. Parce que la vie, ce n’est que ça, rien d’extraordinaire, pas de magie, pas de « heureux pour toujours », mais seulement ça, aujourd’hui.Et sans raison, elle peut finir en un claquement de doigts…

Les acteurs sont criants de vérité et de justesse. L’histoire n’est ni trop, ni pas assez, elle est juste ce qu’il faut. Et elle fait mouche…

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(ATTENTION, SPOILER !) Lire la suite de « Remember Me »

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Cher John

Hier soir, rebelote ! Ciné. Vous allez vous dire « mais, n’a-t-elle rien d’autre à faire ? ». Eh bien si. Et c’est justement parce que je passe mes journées à bosser en ce moment que j’apprécie mes sorties ciné. Sans compter que le début de l’année n’a pas vraiment été riche en sorties cinéma…et que tout nous tombe dessus maintenant !

2001 : John, ancien merdeux, fait son service militaire. Pendant ses deux semaines de permission, il rencontre Savana, dont il tombe immédiatement amoureux. Ils passent ensemble deux semaines idylliques. Mais John doit repartir en Allemagne. De là, il sera affecté, quelque part ailleurs. Savana doit repartir à l’université. Ils seront séparés un an, le temps que John finisse son service militaire, mais leurs lettres les réuniront… seulement, la destruction tragique des tours du World Trade Center pousse John à prolonger son service…

Ce qui commence par une banale histoire d’amour se développe pour prendre la profondeur des grandes réflexions de notre temps : pourquoi les armes ? Pourquoi le devoir ? Mais surtout, qu’est-ce qui a le plus d’importance ? John est tiraillé entre sa vie d’homme et son devoir de citoyen. Entre une mère absente et un pète autiste, sa vie n’a jamais été facile. Savana est son havre, sa vie, et son choix n’en sera que beaucoup plus dur. Mais Savana doit-elle renoncer à vivre pour attendre ? Lorsque l’amour avec un grand A n’est pas accessible, ne faut-il pas faire ce que l’on croit juste ? Dans tout ça, on se demande ce qu’est la vie. Ce qu’on peut en prendre et ce qu’on doit laisser.

Le film ne porte aucun jugement, il présente simplement une suite d’événements contre lesquels le commun des mortels ne peut rien. Comment vivre lorsqu’on est malade, lorsqu’on est loin, lorsqu’on est seul ? Les deux acteurs sont justes et touchants, l’histoire et les personnages surprenants. Chacun y va de sa petite larme, moi compris !

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Le choc des Titans

Samedi soir, soirée filles…quand on est fatiguée, qu’on ne sait pas quoi faire, qu’on se dit qu’on aimerait bien sortir, bah, y’a pas 36 solutions ! Donc direction ciné avec Charlène. Pour le coup, on a choisi un film qui nous intéressait (et que je n’avais pas prévu de voir avec Jill, qui m’aurait tuée si j’y étais allée sans elle).

En route donc pour Le Choc des Titans. En 3D (pas un choix, je n’ai pas fait attention qu’on n’avait pas d’autre option). L’histoire est celle de Persée, fils de Zeus et de Danae, recueilli par un pêcheur après que le mari de Danae l’a jeté à la mer avec sa progéniture parce qu’elle lui avait été infidèle. Persée grandit dans une atmosphère de conflit entre les hommes et les Dieux de l’Olympe, dont il n’est que spectateur, jusqu’au jour où Hadès, dieu des Enfers, tue sa famille adoptive. Persée jure de les venger. Il va se battre aux côtés des soldats de la ville d’Argos, qui, après avoir déclenché le courroux des dieux, essaient de sauver la vie de leur princesse et leur cité. Persée va devoir affronter bien des démons, aidé en cela par de valeureux guerriers et Io, une jeune femme à qui Zeus a donné la jeunesse éternelle…

Un péplum sympathique, bien qu’il ne respecte pas totalement la légende (et en mélange même plusieurs). Mais on passe un bon moment, notamment à regarder Sam Worthington en armure…hum, bref. Plus sérieusement, les effets spéciaux sont très bons, bien que l’histoire ait parfois ses petites faiblesses. Pour mon compte, j’aurais bien laissé tomber la 3D, mais c’est un avis personnel…Bref, une soirée sympa, mais sans plus.

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Alice au pays des merveilles

Ouf, nous y sommes enfin arrivées ! Après moultes ennuis à la suite desquels notre sortie ciné s’est soldée par un échec, nous avons enfin réussi à aller voir cette fameuse Alice ! Places achetées en avance, pas de retard (pour une fois)…tout était parfait. Et le tout en 3D s’il vous plait !

Avez-vous vu le dessin animé de Disney ? Cette Alice capricieuse et gamine gâtée et agaçante dont les aventure n’avaient, pour la petite fille que j’étais, aucun sens ? Eh bien cette Alice-là est différente. Alice Kingsley est une jeune fille fantasque et rêveuse, tout comme son père, pour qui sa douce folie fait d’elle « quelqu’un de bien ». Notre Alice a perdu le contrôle de sa  vie à la mort de son père. Elle doit épouser un Lord qu’elle n’aime pas, elle a vu son beau-frère tromper sa sœur… Elle se sent seule. Mais voilà, Alice tombe dans le terrier du lapin. Va-t-elle s’y perdre ou se trouver ?

Je dois avouer que j’avais quelques appréhensions, n’étant pas une grande admiratrice de ce qu’avait fait Disney il y a un peu plus de 50 ans. J’ai tout de même fait l’effort d’acheter le livre de Lewis Caroll (les deux tomes des histoires d’Alice). Mais bon, un Burton, on ne le loupe pas ! Cela dit, je suis très agréablement surprise. N’essayez de retrouver ni Caroll, ni Disney. Burton a saisi le sens profond de la quête d’Alice, de cette jeune fille tantôt trop grande, tantôt trop petite, jamais vraiment à sa place. On suit une Alice perdue, même pas certaine d’être elle-même, si bien que ses amis du pays merveilleux doutent qu’elle soit leur Alice. Une Alice qui a perdu sa vie en obéissant, en faisant ce qu’on attendait d’elle, et en a oublié ses rêves, son sanctuaire. Ce sanctuaire qui, du coup, s’est retrouvé envahi par la terrible reine rouge.

Au fil du film, Alice se reconstruit, reprend confiance et retrouve ses rêves. Elle se retrouve elle-même et accepte ce qu’elle est, ce petit grain de folie qui fait les gens  biens. Elle fait face courageusement à ses peurs, se bat pour ce qu’elle croit. Elle retrouve ses amis, les reconnait (en particulier le Chapelier, qu’un lien puissant unit à elle). La fin est superbe. On tire notre chapeau à Johnny Depp, bien entendu (pour sa petite chorégraphie notamment), mais surtout à Mia Wasikowska, qui a su imposer son Alice, et éclore au milieu de cette foule de célébrités, et pourquoi pas, comme Alice, trouver sa place parmi eux…Une bouffée d’air frais !

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Tout ce qui brille

Hier soir, rebelote, ciné entre sœurs. Cette fois, seulement avec Jill, ma frangine de 17 ans. Ça faisait un bout de temps qu’on voulait aller voir Tout Ce Qui Brille, maintenant, c’est chose faite. Bon, pour tout vous dire, ce fut une soirée mouvementée, les jambes de Jill semblant farouchement décidées à la faire tomber. Mais on est arrivées au cinéma toutes les deux en vie, quel miracle !

Tout Ce Qui Brille, c’est l’histoire de Ely et Lila, deux jeunes filles, presque deux sœurs, qui vivent à Puteaux, en banlieue parisienne. Elle ont grandi dans leur tour, à dix minutes de Paris, et le métro, c’est leur limousine à elles. Ce dont elles rêvent : soirées branchées, Neuilly, paires de chaussures à 300€. Tout ça, elles l’ont…dans leurs jeux. Mais voilà, Lila, ça ne lui suffit plus… Peut-on rester soi-même quand nos rêves sonnent à notre porte ? Et que faire de ses amies ?

Une histoire sur les rêves qu’on croit impossibles, mais qu’on poursuit quand même. Sur le besoin d’être autre chose que nos parents, ou bien d’accepter que les êtres qui nous sont le plus chers aient d’autres projets que les nôtres. Une histoire sur la tolérance, sur le choix qu’on fait d’avoir sa petite vie rangée, tranquille, loin des bling-blings, ou bien de manipuler des plateaux Dior toute la journée. Jusqu’où est-on prêt à aller pour atteindre nos rêves ? Et lorsqu’on est tout en haut, ne s’y sent-on pas trop seul ? Les actrices sont touchantes et criantes de vérité. Le film est juste et émouvant. Et comme le disent si bien Lila et Ely :  » si je sais que tu mènes la vie que tu aimes au fond de moi… »

Et en bonus :

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Dragons

Hier soir, mue par un irrésistible besoin de me faire une toile, j’ai harponné mes petites sœurs et les ai kidnappées, direction : notre petit cinéma de quartier. Bon, en même temps, il faut reconnaître à Jill la perversité d’avoir laissé sur la table le programme de la semaine. Bref, toujours est-il que nous nous sommes retrouvées dans la salle obscure avant d’avoir pu dire ouf, attendant le début de Dragons, le petit dernier des studios DreamWorks.

Dragons, c’est l’histoire d’une coutume ancestrale chez les Vikings : tuer les dragons, qui sont considérés comme des bêtes sauvages et cruelles. Mais voilà, Harold, le fils du plus féroce des Vikings (qui est accessoirement le chef du village), est aussi chétif qu’une brindille en hiver. Il est la risée du village et la honte de son père. Le comble : il ne veut pas tuer de dragons… lui, il sait les apprivoiser. Mais ça, c’est son secret. Saura-t-il prouver que les dragons ne sont pas ce qu’on pense ?

Une jolie fable. Le thème, c’est du déjà vu : valeurs morales, force intérieure, courage, compassion, différence, tolérance. Mais la leçon est si belle qu’on ne s’en lasse pas. Rien à dire sur le graphisme, habituel chez DreamWorks. Mon cinéma n’en ayant pas les moyens, j’ai zappé la 3D…mais le film n’en a pas vraiment besoin.

Attention parents : une fois sortis de la salle, la première chose que vos enfants diront, c’est « mamaaaaaaaaaaaaaan, je veux un dragon ! »…

Crocmo, le dangereux Furie Nocturne

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