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Toy Story 3

Le week-end dernier, retour à Clermont-Ferrand, d’où je suis originaire, pour revoir ma petite famille, visiter un appart’ (à Montauban) pour l’an prochain et… me ressourcer ! Dieu sait que j’en avais besoin… Et quoi de mieux que d’emmener les frangines au cinéma ? Qui dit frangines dit film d’animation (faut que ça plaise aux petites comme aux grandes !)

Notre folle équipe de jouets qui parlent est de retour : Woody, le cow-boy, Buzz, l’astronaute, Jessi, la cow-girl et Pil-Poil, le fidèle destrier, accompagnés de M. et Mme Patate et de bien d’autres jouets. Que devient un jouet, dont l’essence même est d’accompagner les enfants dans leurs jeux, lorsque lesdits enfants ont grandi ? Andy, leur propriétaire, se pose la question. Il est trop vieux pour les garder, ils sont trop précieux pour qu’il les jette. Mais par erreur, nos compères vont se retrouver dans un carton de jouets à donner… et atterrir à la crèche, où tous les jouets tremblent sous la poigne de Lotso, l’ours en peluche… Que faire ? Croire en ce pour quoi ils sont faits – amuser les enfants – ou bien en celui pour lequel ils représentent tout, Andy ?

On ne peut s’empêcher de verser une petite larme. Toujours aussi drôles, ces jouets n’en sont pas moins attendrissants. Et on est tous passés (ou passerons tous) par là : ce moment où nos jouets favoris sont rangés dans des cartons pour être stockés au grenier, ou partir à la décharge. On a tous ressenti ce petit pincement en mettant notre peluche préférée au placard, en mettant la panoplie de notre Barbie préférée de côté… Mais chacun sait qu’il faut grandir ! Grandir oui, garder un une petite étincelle d’enfance, c’est bien aussi !

Tous les ingrédients y sont : amitié, amour, grands moments tragiques et… grandes scènes de fous rires ! Les tout-petits trembleront vers la fin du film… mais rien de bien méchant. A voir, pour petits et grands !

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Twilight, chapitre 3 : Hésitation

À tou(te)s les fans de la saga, l’heure a bientôt sonné. Dans quelques heures – disons demain, pour faire court – vous pourrez enfin suivre la suite des aventures de Bella et de son vampire de petit ami, Edward. D’ici-là, je vous fais partager mon avant-première parisienne… 😉

Lorsque nous avons laissé nos deux tourtereaux, à la fin de New Moon (ou Tentation), Edward venait de demander Bella en mariage. Nous apprenons au début de ce volet qu’elle a refusé, effrayée par les commérages qu’un mariage à son âge pourrait entraîner. Parallèlement, une vague de meurtres terrorise Seattle. Les Cullen (la famille vampirique d’Edward) soupçonnent l’action d’un vampire qui tenterait de lever une armée ; les Volturi, qui bien qu’ils soient censés protéger le monde des vampires, se seraient laissés enrôler par la soif de pouvoir, ou bien d’autres vampires qui chercheraient à revendiquer un territoire ? Le mystère demeure (presque, parce qu’on a lu le bouquin) entier. Mais pour affronter cette armée de « nouveaux-nés », une alliance avec les loups-garous ne sera pas de trop… et ce bien que Jacob, le jeune et beau loup-garou, soit éperduement amoureux de Bella, au grand damn d’Edward… Bella va devoir choisir entre deux amours bien différentes…

Le choix. Il est la clef de tout le film. C’est pour le choix que doit faire Bella que se battent Edward et Jacob. La jeune fille est tiraillée entre la passion qui la lie à son beau vampire et l’attirance indéniable qu’elle éprouve pour son fougueux ami à poils. Et même si elle est plus ou moins consciente de cette attirance, elle sait que son choix est fait depuis longtemps et qu’elle devra en blesser un des deux. Il est juste temps d’accepter et d’assumer ce choix, et de devenir qui elle est vraiment. Je salue au passage le discours de remise des diplômes que prononce Jessica, je vous laisse le découvrir…

Un volet qui nous montre une autre facette de la saga. Dans un registre presque auto-dérisoire, les personnages évoluent, les répliques fusent, certaines situations sont délicieusement drôles. Moins de longueurs que dans les autres, mais quelques points sont laissés dans l’ombre par rapport au livre… il fallait s’y attendre. À tous les fans, ne manquez pas la sortie, demain ! (Myriam, je pense à toi, puisque le troisième bouquin est ton préféré 🙂 ). Pour les autres, c’est à vous de voir, moi je ne compte pas, je suis un public acquis et j’attends déjà le DVD avec impatience…

Quelques mots sur l’avant-première. Un en fait : folie. C’est dingue, on était plus de 2000 dans la salle. Agaçant à cause des sifflets qui fusaient lorsque les T-Shirts tombaient. Mais les centaines de rires mêlés les uns aux autres ont donné tout leur sens à certaines scènes (je vous laisse découvrir les quelles… et ça sera sûrement pareil pour vous !). Clin d’œil à Fanny et sa joyeuse bande qui, parce qu’on avait partagé notre table avec eux au McDo, nous ont permis de passer avec eux au début de la file… Merci à vous !

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L’agence tous risques

Alors moi, quand j’étais petite, je regardais ça avec mon pôpa. J’adorais. Bon, je n’en ai que de vagues souvenirs, mais ils sont assez précis pour m’avoir donné envie d’aller voir le film. Instant nostalgie…

Il y a d’abord la rencontre fortuite des protagonistes en plein désert et la naissance d’une équipe de choc qui ne lésine pas sur les moyens. Huit ans plus tard, après nombre de missions réussies, Hannibal et ses hommes – Futé, Baraccuda et Looping – se retrouvent sur le banc des accusés pour avoir réussi une mission top secrète en fait destinée à les piéger. Afin de laver leur nom, ils décident de s’évader de prison et d’allier leurs talents pour tirer cette affaire au clair.

Ah, que dire ? Que de souvenirs… La petite musique qui n’est jamais vraiment sortie de nos tête revient aujourd’hui hanter les écrans. Moi je regardais ça entre V, Hulk et Supercopter, autant dire que ça rappelle des choses, notamment les samedis après-midi avec mon papa, quand il avait terminé le ménage… ouh la, ça date !

Toujours est-il qu’on a de quoi rire, et même être plié en deux. Les répliques sont cinglantes et les situations délicieusement loufoques. Les acteurs ont été merveilleusement bien choisis, et l’esprit de la série est là. À voir !

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Le Plan B

Il y a bien une plombe que j’ai été le voir celui-ci… c’est pas sérieux tout ça. Je me demande si ça vaut le coup… arf, allons-y !

Zoé en a assez d’attendre l’homme de sa vie pour avoir un enfant. Elle décide donc de recourir à l’insémination. C’est justement ce moment que choisit le destin pour faire entrer Stan dans sa vie. On se retrouve donc dans la situation suivante : Zoé est enceinte – chose qu’elle ne pensait pas possible avant plusieurs essais –, elle est amoureuse de Stan, qui lui, ne veut pas particulièrement d’enfant. Mais lorsqu’il choisit de vivre cette grossesse avec Zoé , il est loin d’imaginer ce qui l’attend !

Une comédie sympathique sur la maternité, mais surtout sur la paternité. Quand un homme est-il considéré et, plus important, se considère-t-il comme un père ? Les moments difficiles, drôles, émouvants, le découragement, rien n’est épargné aux futurs parents…

Très rock’n’roll, ce film accomplit parfaitement sa mission : il nous divertit. Les acteurs sont on ne peut plus attachants, les situations improbables mais véridiques. Bref, on passe un bon moment !

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Crazy Night

Je savais bien que j’en avais zappé un ! Et pourtant, ça fait un bout de temps que je l’ai vu celui-là… Heureusement que je garde mes tickets !

Claire et Phil Foster sont un couple tout ce qu’il y a de plus banal. Leur vie est réglée à la minute et, bien qu’une très grande complicité les unisse, ils ont depuis longtemps oublié les étincelles et la spontanéité. Un jour, se faisant passer pour un autre couple afin d’obtenir une table dans un resto chic, ils sont accostés par des types louches qui visiblement les confondent avec ce couple de petits truands qui a arnaqué leur patron. Claire et Phil vont devoir mobiliser tous leurs moyens de petites gens pour s’en sortir et, qui sait, retrouver l’étincelle en chemin…

Un film qui, en plus d’être très drôle, sonne très vrai. Un couple qui n’a plus le temps pour lui, c’est banal. La complicité suffit-elle alors à le cimenter ? La réponse est très optimiste et nous montre que l’amour, ce n’est pas l’absence d’effort, mais au contraire un travail quotidien sur nous-même afin de rester à l’écoute de l’autre. Ce n’est pas non plus ne pas changer… il faut juste changer ensemble.

Les acteurs, en plus d’être très drôle et décalés, font extrêmement bien passer ces questionnements intérieurs que beaucoup de couples doivent connaître, ainsi que cette immense affection qui les unit l’un à l’autre. Peut-être pas un chef-d’œuvre, mais un film à voir en tout cas.

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Sex and the City 2

Pas très sérieux tout ça. Ceci dit, ma chère B.J. et moi avons décidé de se faire une soirée filles, talons hauts et cosmos à la clef (enfin, pour les cosmos, c’est raté, mais on se fait ça à Paris, hein So’ ?) Nous voilà donc parties pour deux heures et vingt minutes de « girl attitude » !

On prend les mêmes et on recommence. Carrie, Charlotte, Miranda et Samantha continuent à suivre leur petit bonhomme de chemin. Mais la vision idyllique qu’elles avaient de ce qu’elles attendaient de la vie part en fumée. Carrie découvre que le mariage tourne autour d’un canapé et d’une télé. Miranda se rend compte qu’elle ne supporte plus son patron mais que rester à la maison, c’est pas pour elle. Charlotte déchante face à la quantité de travail que lui donnent ses deux enfants. Enfin, Samantha essaie tant bien que mal de faire face à ses problèmes de ménopause. Un voyage au Moyen-Orient les réunit tout en leurs permettant de prendre du recul face à leur quotidien.

On y est. C’est LE problème que (presque) toutes les femmes rencontrent. Lequel ? Mais vous avez l’embarras du choix, et chacune y retrouvera ses tracasseries quotidiennes. Du terrible aveu « j’aime mes enfants mais ils me tapent sur les nerfs » au classique « moi je croyais que le mariage, c’était l’étincelle tous les jours » en passant par « je dois accepter ce que je suis », on suit le parcours de ces femmes qui (bon d’accord, sur un fond de Dior et j’en passe) font face à ce qu’elles sont… des femmes.

Drôle et émouvant, ce deuxième opus est plus fidèle à la série que le premier, peut-être moins « défilé de mode » (bien qu’on n’y échappe pas). On cache un demi-sourire en avouant à mi-voix que nous aussi, parfois, on pense pareil. On passe un bon moment. À voir.

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Prince of Persia : les sables du temps

Allez, un petit avant-goût de ce que vous pourrez voir dès demain dans les salles obscures. C’est cadeau ! Merci au jeune homme (qui se reconnaîtra…) qui nous a permis de passer une super soirée !

Dastan est un jeune orphelin adopté par le roi Perse, après qu’il a accomplit un acte de bravoure sur la place du marché où passait le monarque. Dès lors, il devient prince de Perse, fin stratège, courageux et fort. Mais une révolte gronde aux portes de la cité sacrée d’Alamut, province perse, accusée de vendre des armes au camp adverse. Pour le roi, la révolte doit être étouffée. Mais à la suite de sa victoire, il est assassiné. C’est Dastan qui est accusé du meurtre. Il doit donc fuir, emportant avec lui (et contre son gré) la princesse d’Alamut, rapportée comme un vulgaire trophée du sanctuaire où elle vivait. Dastan doit alors prouver son innocence et démasquer le coupable, tout en empêchant le méchant de l’histoire de voler la dague sacrée enfermant les sables du temps…

C’est une réussite ! Après Tomb Raider, Resident Evil et j’en passe, voilà le petit nouveau inspiré d’un jeu vidéo. À la différence près que cette fois, c’est Disney qui s’y colle, donc on nous épargne les longues scènes de fusillade, de bataille sanglante (il en faut un eu quand même) et j’en passe, en nous offrant un Jake Gyllenhaal… comment dire… à tomber par terre. Les effets spéciaux sont utilisés avec parcimonie, et c’est agréable pour les yeux.

On retrouve les morales chères à Disney (on n’y échappe évidemment pas) : écoute ton coeur, ne te fie pas au apparence, etc. Mais on passe au-dessus. L’intrique est bien montée, rythmée et très bien filmée. À voir.

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Comme les cinq doigts de la main

Celui-ci, je suis allée le voir pour raisons personnelles, qui n’ont strictement rien à voir avec le film (que jamais je ne serais allée voir sans cette fameuse raison). Enfin, le résultat est là, alors allons-y…

Comme les cinq doigts de la main, c’est l’histoire de cinq frères, aussi différents les uns des autres qu’il est possibles de l’être. Ils sont issus d’une famille juive. C’est leur mère, veuve, qui les a élevés. Mais dans une fratrie aussi nombreuse, il y en a toujours un qui tourne mal. Du moins, c’est ce que pense Dan, l’aîné, lorsqu’il apprend que le frère qu’il n’a pas vu depuis 6 ans a fait de la prison et est recherché par la police et par les gitans. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il le fait pour venger la mort de leur père. Les cinq frères vont alors oublier leurs différends et se battre côte à côte pour défendre leur famille et son honneur.

Une histoire de famille, c’est ce qu’on peut dire à première vue. Vengeance du père, frère retrouvé, fratrie unie, tout ça sur un fond de magouille et de conflit religieux. On retrouve Patrick Bruel en juif combatif ; il endosse cette fois en plus le costume du père absent et jaloux maladif. L’intrigue est pas mal goupillée, bien qu’un peu alambiquée parfois. Quelques élipses manquent d’explication… et puis franchement, les histoires de mafia à la française, bof bof… Mais ça, c’est mon avis. Ceci dit, pas aussi nul que ce que je pensais.

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Camping 2

En tant que clermontoise de naissance (et fière de l’être, non mais !), je me devais d’aller voir Camping 2… 5 minutes de gloire pour la capitale Auvergnate, 1h34 de blagues douteuses. Mais quand même !

C’est l’été, on prend les mêmes et on recommence. Mais attention, il y a du changement ! Un camping-car flambant neuf pour Polo et Sophie, une belle surprise (dans les deux sens du terme) pour les Pic, et un Patrick Chirac renouvelé, plus « mature », qui a enfin pris la décision de se poser… en affichant son célibat sur sa voiture en dessous de son numéro de téléphone. C’est dans cette ambiance qu’arrive Jean-Pierre Savelli, employé aux Mutuelles d’Assurance de Clermont-Ferrand, un peu maniaque sur les bords (et pas que !), qui s’est décidé à partir à l’aventure avec sa fille pour impressionner sa petite amie. Mais n’est pas aventurier qui veut, et Jean-Pierre se retrouve malgré lui embringué dans toutes sortes de situations plus folles les unes que les autres…

On retrouve nos gais lurons avec leurs problèmes de couple, de non couple, leurs crises d’identité, leurs plans drague foireux et j’en passe. Tous les auvergnats… non, pas tous les auvergnats… disons les habitants de l’agglomération clermontoise (que j’ai tendance à assimiler à l’Auvergne, rien que ça !), bombent le torse devant les premières images et montrent l’écran en disant « regarde, c’est là que je vais boire mon café ! »… On ne s’en lasse pas.

Ceci dit, les gags ne sont pas toujours très fins (on le savait ça), voire un peu lourds et, il faut dire ce qui est, on a déjà vu ça. Mais on passe un bon moment. Je pense qu’un Camping 3 serait de trop.

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Robin des Bois

On en parle partout, il fait la une et a créé le buzz ces dernières semaines… Non, je ne parle pas du volcan islandais mais du petit dernier de Ridley Scott : Robin des Bois. Et il a tout compris Ridley ; on prend les mêmes et on recommence, le voilà qui collabore pour la cinquième fois avec Russel Crowe, après notamment Gladiator et Une Grande Année. Incontournable.

Pendant 10 ans, Robin Longstride a accompagné le roi Richard Coeur de Lion dans une croisade inutile et honteuse lors de laquelle le roi, ruiné, décide de piller la France afin de ne pas rentrer les mains vides. Robin, accompagné de ses compagnons Will l’Écarlate, Allan A’Dayle et Petit Jean, décide alors que son chemin doit prendre une autre direction et cherche comment rentrer en Angleterre. Mais le roi meurt dans une bataille et c’est Robin, trouvant là un moyen sûr de rentrer chez lui, qui ramènera la couronne en Angleterre, déguisé en chevalier.
À la cour se sont mêlés complots et intrigues ; le chevalier Godfroy tente de déstabiliser le pouvoir en place à l’aide de l’armée française en tyrannisant le peuple anglais « au nom de la couronne ». C’est dans ce climat tendu que Robin rendra visite à Walter Loxley, le père d’un chevalier mort au combat. Cette visite changera sa destinée…

Une histoire revisitée, empreinte du réalisme que l’on aime donner aux légendes ces derniers temps. N’empêche, ça marche et on suit les aventures de ce héros en devenir avec une certaine délectation (oui, parce qu’on parle ici de la naissance du personnage !). Russel Crowe endosse à merveille, comme toujours, le rôle du chevalier servant cachant son jeu, épris de liberté et de justice (on se souvient de Gladiator). On redécouvre le personnage de Marianne, interprété par Cate Blanchett, qui retrouve toute sa fougue et son caractère en laissant de côté cette facette de princesse mièvre que l’on retrouve souvent dans les précédentes versions. Marianne devient une vraie femme. On aime aussi le frère Tuck (Mark Addy), prêtre et bon vivant.

Une histoire qui roule, puisque Robin des Bois a fait plus d’un million d’entrées la première semaine. Des scènes superbes, tantôt teintées d’humour, tantôt empreintes de bravoure. Juste ce qu’il faut. On en redemande.

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