Bonjour bonjour !
Un long silence, encore une fois. Quelles étaient mes bonnes résolutions, déjà ? Ah oui, poster plus souvent. Enfin, vous me pardonnerez j’en suis sure, parce que je reviens aujourd’hui avec non pas un, mais deux billets (le suivant étant un mot du jour, bande de petits veinards…). Bien, vous souvenez-vous de notre petite Elza, dont je vous avais parlé dans ce billet ? Eh bien, figurez-vous que je me suis fait plaisir en m’achetant l’intégrale sur le salon de Montreuil, il y a quelques mois !

Sarakontkoi ?
Elza, notre jeune adolescente de 14 ans, revient, signe et persiste dans son style à elle. Elle n’en démordra pas, Robert-Louis, c’est pas son type, et Darius Mirouflet, ça va bien 5 minutes, mais faut pas trop pousser non plus. Entre ses lettres à Johnny Depp, et ses réclamations à Marylin Manson, elle trouve tout de même le temps de faire la belle, et de s’inventer des destins extraordinaires…
Tenpenskoi ?
Un éclat de rire en papier, voilà ce que c’est. On déguste les petites histoires de Didier Levy comme une Chupa Chups XXL avec un chewing-gum au milieu : on a hâte de finir pour le chewing-gum, mais on adore suçoter le bonbon ! Et je ne vous parle pas des illustrations de Catherine Meurisse, qui sont la cerise sur le gâteau. Moi j’ai bouffé ça dans le métro, et j’ai prié pour que ça ne finisse jamais.
Malheureusement, le Dieu des livres ne m’a pas écoutée : la série s’arrête, les petits exemplaires en format paysage sont épuisés et il ne reste que les grands formats (dommage). Pas de réimpression prévue, pour cause de réception assez tiède. Bah les gens, vous avez du caca dans les yeux ? C’est un petit bijou ! (Même toi, Romain, tu adorerais.) Penchez-vous dessus, vous m’en direz des nouvelles !
Pour info :
Éditions Sarbacane, 60 pages, 16€ chez les libraires chez qui il en reste (courez, même Amazon est en rade !)







