Amis du jour, bonjour !
Vous vous acquittez très certainement de vos dernières obligations de la semaine, coups de fil en retard, rapports à rendre au patron, derniers coups de pinceau, dernier rappel d’impayé… ah, les vendredis ! Ils ont comme un avant-goût de délectation week-endale ! Je me demande d’ailleurs si le vendredi n’est pas mon jour préféré de la semaine, si la proximité quasi-intime avec le week-end n’est pas meilleure que le week-end lui-même… Bref, trêve de plaisanterie, il est temps pour le billet de la semaine (parce que maintenant, WordPress me rappelle gentiment à l’ordre si je ne poste pas au moins une fois par semaine….). Et comme je n’ai pas terminé mon bouquin, eh bah ça sera…
Le mot du jour : épicène.
Vous avez remarque comme il est compliqué parfois d’utiliser un mot au féminin. Mme le maire / la mairesse ? Un auteur / une auteure ? Un écrivain / une écrivaine ? Sachez que certains mots peuvent s’utiliser indifféremment au masculin ET au féminin. C’est le cas, justement, de… tiens, « libraire » ! Un libraire / une libraire.
Mais épicène désigne également ces noms génériques « d’espèces » qui ne font pas référence au genre : « enfants », par exemple. Ou « perdrix ». Ou « gens »… Bref, vous en avez pas mal.
En parlant de genre, et puisque c’est le débat du moment, pitié, arrêtez de féminiser les noms ! Mairesse, c’est moche. Écrivaine, c’est moche. Pompière, c’est moche. Mesdames les féministes, franchement…