Hello les gens ! Allez, c’est pas tout de faire l’asociale pour lire des bouquins, faut rentabiliser la chose. Qui plus est, je pense me remettre à vous parler ciné, puisque j’ai eu quelques demandes de ce côté-là (et non, ce n’est même pas ma maman !). Bref, je continue donc sur la série Fièvre, comme vous pouvez le voir. Et pour une fois, Karen nous en donne un peu plus, question infos… mais pas trop quand même, oh !

Alors, la question est : que vous révéler sans trop en dire (pour ceux qui n’ont pas lu les trois premiers) ? Au début du tome 4, Mac se retrouve prisonnière de ses addictions sexuelles (pour comprendre pourquoi, vous devez lire le tome 3). Dit comme ça, ça commence très mal. Mais elle finit par ressortir plus fort de cette épreuve et finalement, retourne à son combat contre les faës, aux côtés des siennes (qu’elle a fini par rallier), et en particulier de Danny, qu’elle considère comme sa petite sœur. Mais ce combat, elle le mènera également aux côtés des humains, en la personne de l’inspecteur Jayne. Elle finira par en apprendre plus sur elle, ses origines, sur cette prophétie dont on lui rebat les oreilles, jusqu’à ce que ce qu’elle redoute le plus se produise, et la conduise à sa perte.
MacKayla est de retour, et malgré ce qu’elle peut dire tout au long du récit, elle n’a pas tant changé que ça. Bien entendu, on est loin de la petite américaine moyenne du début, précieuse et j’en passe, mais dans le caractère, la manière de raisonner est la même. Cela dit, les autres personnages évoluent ; certains qui n’avaient été qu’évoqués se retrouvent à combattre dans la Mac team. J’attends le prochain tome pour voir où tout ça va nous mener.
Bref, vous l’aurez compris, un roman riche en rebondissements. À la fin, on finit par les connaître un peu, mais on continue à lire. C’est ce que je vous disais l’autre fois, ce combat entre Karen et nous pour approfondir un minimum notre analyse des personnages. Visiblement, on l’emporte, parce que pour le coup, le personnage de Barrons se dévoile un peu (bien que je ne sois pas certaine que ça nous éclaire vraiment). Dans tous les cas, l’histoire avance, et parfois, la réalité du Dublin qui est décrite ici est inconcevable (pas au mauvais sens du terme, c’est juste énorme). Bref, il faut que ça continue comme ça. Petite précision, on a juste des envies de meurtre sur la personne de l’auteur, pour sa fin… je vous laisse voir ça (et pas de spoiler sur mon blog !).
Petit plus, on a le glossaire, et un livre de recettes (plus ou moins réalisables) spécial Mac. Et puis, d’après ce que Karen écrit dans son adresse au lecteur, c’est le dernier tome. Ouf, je pense que même si ce tome-ci est excellent, tout ça finira par s’essouffler.
Pour info :
J’ai Lu, 595 pages.