Celui-ci, je suis allée le voir pour raisons personnelles, qui n’ont strictement rien à voir avec le film (que jamais je ne serais allée voir sans cette fameuse raison). Enfin, le résultat est là, alors allons-y…
Comme les cinq doigts de la main, c’est l’histoire de cinq frères, aussi différents les uns des autres qu’il est possibles de l’être. Ils sont issus d’une famille juive. C’est leur mère, veuve, qui les a élevés. Mais dans une fratrie aussi nombreuse, il y en a toujours un qui tourne mal. Du moins, c’est ce que pense Dan, l’aîné, lorsqu’il apprend que le frère qu’il n’a pas vu depuis 6 ans a fait de la prison et est recherché par la police et par les gitans. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il le fait pour venger la mort de leur père. Les cinq frères vont alors oublier leurs différends et se battre côte à côte pour défendre leur famille et son honneur.
Une histoire de famille, c’est ce qu’on peut dire à première vue. Vengeance du père, frère retrouvé, fratrie unie, tout ça sur un fond de magouille et de conflit religieux. On retrouve Patrick Bruel en juif combatif ; il endosse cette fois en plus le costume du père absent et jaloux maladif. L’intrigue est pas mal goupillée, bien qu’un peu alambiquée parfois. Quelques élipses manquent d’explication… et puis franchement, les histoires de mafia à la française, bof bof… Mais ça, c’est mon avis. Ceci dit, pas aussi nul que ce que je pensais.
Pour plus d’infos, cliquez ici !