Bon, là, c’est même plus du retard, c’est honteux ! Ceci dit, comme je l’ai déjà expliqué, c’est indépendant de ma volonté (oui, j’aime faire plein de choses à la fois et ne même plus savoir ce que je dois faire !). Bref, revenons à nos moutons… ou plutôt à notre playboy en armure, j’ai nommé : Iron Man. On est reparti pour un tour !
On retrouve dans ce volet le richissime Tony Stark, fort du succès qu’il a acquis en révélant au monde sa double identité. Caché derrière sa carapace de métal, il se croit invincible et capable de prévenir n’importe quel conflit. Jusqu’à ce que ce qui le maintient en vie, l’adamentium, commence à le tuer. Et pour en rajouter une couche, le gouvernement, qui ne l’entend pas de cette oreille, compte bien faire d’Iron Man une propriété de l’État.
Et puis, il y a les jaloux, ceux qui envient le succès de l’homme d’acier, et il y a ceux qui nourrissent contre la famille Stark des envies de vengeance…
On retrouve notre super héros en proie au doute. D’abord, qui est le héros ? Son armure ? N’est-il pas une part du concept ? En d’autres termes, l’armure sans lui a-t-elle la même valeur morale et physique ? Alors on est en droit de se demander ce qui fait un super héros. Tony Stark commence par sombrer, et le héros qui le détruit avec lui. Sa vie décline, et malgré tous ses biens, il est seul.
Robert Downey Jr. est magnifique (mais je ne suis pas objective). L’histoire est bien construite malgré quelques longueurs sur le milieu du film, et quelques épisodes qu’on a dû manquer en chemin… La musique est excellente (eh oui, un best of de AC/DC sur les cascades d’un surhomme, on en redemande). Bref, il faut aimer les films à la sauce de super-héros, ce qui est mon cas, vous l’aurez compris.
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